Le Centre d’études et de prospective (CEP) a lancé en septembre 2017 un chantier collectif d’analyse économique, fondé sur la mobilisation d’un groupe d’experts internes et externes au ministère. Il a pour objectif d’apporter des connaissances nouvelles sur des problématiques à enjeux forts pour le •••
Le Centre d’études et de prospective (CEP) a lancé en septembre 2017 un chantier collectif d’analyse économique, fondé sur la mobilisation d’un groupe d’experts internes et externes au ministère. Il a pour objectif d’apporter des connaissances nouvelles sur des problématiques à enjeux forts pour le ministère et de déboucher sur des pistes d’actions. Il débouchera sur l’édition d’un ouvrage éclairant les différents aspects de la problématique choisie, mobilisant diverses méthodes et des perspectives contrastées, sans viser l’exhaustivité.
En 2015, l’agriculture comptait 885 000 actifs permanents, dont 560 000 exploitants ou co-exploitants travaillant dans quelques 440 000 exploitations, auxquels s’ajoutaient plus de 245 000 équivalent-temps pleins de travailleurs saisonniers et d’employés des entreprises de travaux agricoles ou de CUMA. Comme dans d’autres secteurs, l’agriculture est confrontée à une évolution des métiers et des statuts des travailleurs associés à la production agricole. Bien souvent, l’activité agricole n’est plus assurée par un agriculteur réalisant l’ensemble des métiers sur l’exploitation, mais par une somme de tâches accomplies aussi bien par l’exploitant que par des tiers. Dans ce contexte, la notion d’« emploi agricole » ne rend que partiellement compte de la réalité de l’activité des femmes et des hommes qui participent aujourd’hui au secteur agricole français. Actif’Agri analyse ces transformations sous des angles variés et complémentaires.
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